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da Roberto Pertici, Giovanni Amendola: l'esperienza socialista e teosofica (1898-1905) in KBD-Periodici: Belfagor 1980 - marzo - 31 - numero 2

Brano: [...] presenziato con ben quindici gruppi.
Ma quali furono le motivazioni di fondo che spinsero Amendola sulla
strada della teosofia? Ne parla egli stesso in una lettera alla fidanzata Eva del 6 giugno 1904:
Toute ma vie a été une grande oscillation entre ces deux pois: l'intelligence et l'esprit, accompagnée par les souffrances d'une ame qui a toujours, toujours cherché. A un certain moment, j'ai acquis la connaissance absolue que mon salut était dans le pol de l'esprit. Comment j'en suis venu la? Par les souffrances ininterrompues et la solitude. Dans un milieu riche et joyeux, j'aurais pu développer la nature riche et harmo
II DECID CORTESI, Lo « Spirito nuovo », in « Nuova Antologia », LXIII, serie Iv, 1 giugno 1896, p. 523.
192 VARIETÀ E DOCUMENTI
nieuse d'un esprit serein de la renaissance. Dans la solitude et la souffrance j'ai développé la vie religieuse... Je me suis refusé de mettre dans l'émotion la base de la vie spirituelle, carhélas! — je sais que l'émotion change et j'ai cherché quelque chose qui ne change pas. Voilà pourquoi je suis devenu théosophe — la théosophie a signifié pour moi l'accord de toute la conscience intellectuelle, émotionelle et morale, dans l'affirmation de la vie de l'esprit ... La chose qui m'a toujours attiré la plus dans la théosophie a été la possibilité de s'opposer au matérialisme occidental — à ce triste materialisme qui produit tant d'égoisme, tant de violence et tant de doleur et d'injustice (Kühn, pp. 579).
La lunghezza della citazione ci pare giustificata dall'importanza della questione: Amendola parte dall'oscillation fra positivismo e spiritualismo, fra intelletto e spirito, in cui si era dibattuto negli ultimi anni e di cui gli articoli su « La Capitale » sono in qualche modo una testimonianza; è una crisi esistenziale fatta di disorientamento, di solitudine e di sofferenza, che lo spinge ad un se[...]



da [Gli interventi] Jean Desanti in Studi gramsciani

Brano: Jean Desanti

Chers amis, en écoutant toutàl’heure l’exposé si riche de notte camarade Luporini, je voyais se dégager devant moi t’image d’un philosotphe d:e type nouve.au, d’un philosophe révolutionnaire par rapport à ceux qui avaient existé dans; le passé.

C’est cette image que je voudrais essayer de préciser. C’es,t de ce philosophe que je voudrais essayier d’esquisser briièvement le portrait.

Il existe, du philosophe, une figure traditionnelle, et Luporini l’évoquait, lorsqu’il panlait du fondateur de la phénoménologie, Husserl. Husserl a lui mème défini cette tàche — sa tàche — philosophique, lorsqu’il a dit : « Je suis le fbnctionnaire de l’humanité ».

Qu estce que cela veut dire dans son esprit? Cela veut dire que le philosophe se p'résente cornine quelqu’un qui inaugure véritablement la philosophie, comme quelqu’un qui[...]

[...]ssé.

C’est cette image que je voudrais essayer de préciser. C’es,t de ce philosophe que je voudrais essayier d’esquisser briièvement le portrait.

Il existe, du philosophe, une figure traditionnelle, et Luporini l’évoquait, lorsqu’il panlait du fondateur de la phénoménologie, Husserl. Husserl a lui mème défini cette tàche — sa tàche — philosophique, lorsqu’il a dit : « Je suis le fbnctionnaire de l’humanité ».

Qu estce que cela veut dire dans son esprit? Cela veut dire que le philosophe se p'résente cornine quelqu’un qui inaugure véritablement la philosophie, comme quelqu’un qui tient en ses mains, et en ses seules mains, le sort de toute vérité; de telle sorte que les: autres n’aient p*lus qu’à necevoir cette vérité qu’il dit. Son dessein philosophique se présente devant lui comme le projet dune sèrie de démarehes par lesquelleis toute véirité pensabile au monde sera dite, mais par lui sieul.

Telle est du moins sa p'rétention. Mais comment est elle mise en oeuvre; et que rencontfetelle sur son chemin? Précisément elle rencontr[...]

[...]les mains, le sort de toute vérité; de telle sorte que les: autres n’aient p*lus qu’à necevoir cette vérité qu’il dit. Son dessein philosophique se présente devant lui comme le projet dune sèrie de démarehes par lesquelleis toute véirité pensabile au monde sera dite, mais par lui sieul.

Telle est du moins sa p'rétention. Mais comment est elle mise en oeuvre; et que rencontfetelle sur son chemin? Précisément elle rencontre 'le mionde, le monde dans lequel les hommes pensent et agissent.

Et visàvis du monde, le philosophe, pour, conserver pur son dessein de vérité, prend une attitude de dófiance et de retrait. Il se retranche du monde, il se retine dans sa différence; dès lots sa philosiophi'e se dével'oppe, non pas en s’articulant sur le monde et sur les problèmes réels que les hommes se posent, mais dune manière parallèle au monde.554

Gli interventi

Les deux iign.es, ceille que les hommes suivent dans leur vie quocidiemme, et celle que le phiiosophe suit dans son cheminement spéculatif, ne se rencontrent pas; toujours parallèles, elles ne se rencontrent mème pas à l’infini. Le phiiosophe va <sa vie, le monde va sa vie; et aitisi la philosophie se détache absolument du monde.

Or, à travers Gramsci on voit apparatore une autre philosophie, une autre figure de phiiosophe. On peut dire de Gramsci que lui aussi est un phiiosophe universel, et de lui aussi je dirais, à juste titre, quii a été le fonotionnaire de l’humanité, mais dune autre manière, dune manière révolutionnaire, par rapport aux desseins du phiiosophe de tyipe traditioninel.

En effe[...]

[...]titre, quii a été le fonotionnaire de l’humanité, mais dune autre manière, dune manière révolutionnaire, par rapport aux desseins du phiiosophe de tyipe traditioninel.

En effet, voyons d’aibord ce quii en est de ioette fameuse naiveté dont le phiiosophe de tyipe husserlien prétend se séparer, dont il prétend faire la critique radicale, oecte naiveté du « vulgaire ». Comme fa montré Luporini, Gramsci ne méprise pas la naiveté. Au contraire; et dans ce sauri qu’il a de la 'naiveté il <n’y a pas seulement la volonté d’affirmer son lien organique aux masses populaires, pas seulement la volonté d’affirmer son lien avec le peuple qui souffre et dont « le sens commun » contient déjà, en première approximation, un élément de connaisìsance.

'Il y a aussi, il ime semble, que'lque chose de plus profond: te sauci réfléchi et dólibéré de ramener les idées à leur origine, de ies comprendre en fonction de leur racine dans la pratique.

Saisir la naiveté populaiire, saisir la première expression que, dans sa création spontanée de la culture, le p[...]

[...]de la 'naiveté il <n’y a pas seulement la volonté d’affirmer son lien organique aux masses populaires, pas seulement la volonté d’affirmer son lien avec le peuple qui souffre et dont « le sens commun » contient déjà, en première approximation, un élément de connaisìsance.

'Il y a aussi, il ime semble, que'lque chose de plus profond: te sauci réfléchi et dólibéré de ramener les idées à leur origine, de ies comprendre en fonction de leur racine dans la pratique.

Saisir la naiveté populaiire, saisir la première expression que, dans sa création spontanée de la culture, le peuple donne du monde dans lequel il vit et souffre, la saisir camme le terrain déjà donné, déjà offert à l’analyse, et sur lequel doit pouvoir prendre appui une élaboration vraiment théorique: voilà me semblentil un souci en lui mème déjà philasophique.

Ce souci me semble toutàrfait fondé et de nature à éviter au phiiosophe de profession quelques mécomptes. On sait, en effet, qu’un problème tourmente le phiiosophe; celui du commencement de la philosophie, de 'la déterminati'On de la philosophie comme prò jet de vérité pur de tout préjugé: le problème d’une philosophie sans présuppositions, comme disait Husserll.
[...]

[...]». Chacun y a accès du fait mème qu’il partecipe d’un mouvement de culture en voie de conisititution, et du fiait que ce mouvement cherche son chemin vers la .claire conscience et la forme d’expression universelle que peut lui donner la pensée par concepts.

Une formule revient à plusieurs raprises sous la piume de Gramsci : « c’est — ecritil, — l’homme qui philosophe ».

C’est une idee profonde, si nous réfléchissons au contenu que présente dans la pensée de Gramsci la notion d’homme. L’homme, pour lui, est rhomme historique, l’homme social, qui se développe lui mème, qui fait rapprentissage de lui mème et de ses moyiens de connaissance dans les actes par lesquels il afEronte le monde et l!es problèmes que k société lui pose. Dire que « c’est l’homme qui philosophe », c’est donc comprendre la philosophie cornine phénomène de culture, camme élémente en développement au sein de la conscience sociale, élément capable de se refléchir soimème en réfléchissant ce développement.

Si nous creusons un peu cette idee, nous allons voir alors apparaìtre une sèrie de oonséquences fondamentales.

Et en premier lieu celieci. Si ce qui vient d’ètre dit est vrai, alors il existe un sens fort du mot philo'sophie. La philoisophie ne peut plus è[...]

[...]sein de la conscience sociale, élément capable de se refléchir soimème en réfléchissant ce développement.

Si nous creusons un peu cette idee, nous allons voir alors apparaìtre une sèrie de oonséquences fondamentales.

Et en premier lieu celieci. Si ce qui vient d’ètre dit est vrai, alors il existe un sens fort du mot philo'sophie. La philoisophie ne peut plus ètre seulement l’oeuvre d’un penseur solitaire qui repenserak le monde pour soi et dans la paix id’un mouvement de réflexion qu’aucun souci du monde ne viendrait jamais troubler.

> La philosophie pour Gramsci est un mouvement réel, socialement constitué, au cours duquel s’affrontent et deviennent conscients les confiits qui opposent les claisses sociales dans une formation économique et sociale donnée prise à un stode donné de son développement.

Gramsci a insistè particulièrement sur cette idée, que la période historique au couds de laquelle une classe sociale se constitué cornine « classe pour soi » et cherche le chemin de l’hégémonie, développe devant soi, pour ainsi dire, un domaine d’idées eneore en devienir, enoore nébuleux, un ensemble d’exigences qui prennent racine dans l’activité pratique des classes en présence et se nourrissent de cette activité.

Ce complexe, que nous pouvons lappeler « idéopradque », constitue la terrain où peuvent prendre naissance les concep'tions élaiborées du monde, dans lesiquelles se tissie, au moyen de l’usage de la pensée.556

Gli interventi

par ooncepts, un lion organique etntre les instruments objectifs dont ia société dispose, et les projets politiques ©t idéologiques que les classes en lutee proposent pour résoudre ou pour se représenter les contradictions résultant de leur pratique.

Gramsci lindique qute cette élaboration peut ètre l’oeuvre d’un grand penseur individuel. Mais elle ne peut se produire que sur le fond de ce qui a été déjà élaboiré par le développement de la pratique sociale.

On voit que dans cette conoeptioin de la philosop[...]

[...]e etntre les instruments objectifs dont ia société dispose, et les projets politiques ©t idéologiques que les classes en lutee proposent pour résoudre ou pour se représenter les contradictions résultant de leur pratique.

Gramsci lindique qute cette élaboration peut ètre l’oeuvre d’un grand penseur individuel. Mais elle ne peut se produire que sur le fond de ce qui a été déjà élaboiré par le développement de la pratique sociale.

On voit que dans cette conoeptioin de la philosophie le moment subjectif, le moment individuel n’est nullement aboli. Il est simple ment pensé dans son contenu, situé comme moment spécifìque dans l’ensemble de l’activité complexe par. laquelle une philosophie est produite en tant quélément aictif, organisateur, d’une culture en devenir.

De là dérive une deuxième idée. S’il est vrai que la création dune philosophie au sens fort est à la fais universelle et individuelle le second moment cependant, le moment individuel, est, dans le développement, toujours subordonné au premier.

Ce qui distingue en effet le philosophe du simple manieur d’idées, c’est que les conceptions qu’il élaibore expriment et portent à l’universalité du concept les exigences propres au mouvement social de son époque. Cela veut dire deux choses.

D’abord, que le philosophe doit ètre un intellectuel spécialisé; il doit dominer le mode d’expression conceptionnelle, il doit avoir assirnilé l’apprentissage philoisophiique que ll’humanté ,a déja accompli.

Mais d’autre part, le philosophe doit ètre lié aux luttes concrètes et il doit en traduire[...]

[...]i.

Mais d’autre part, le philosophe doit ètre lié aux luttes concrètes et il doit en traduire le sens, et le mouvement; ou du moins il doit se situer au point où les divers éléments oontradictoires qui constituent la vie et le mouvement de la pratique, se nouent les uns aux autres et s’éclairent en se dévelbppant par leur conflit mème.

Il me semble que c’est lune des originalités de Gramsci d’avoir pensé ces dieux aspects de la philosophie dans leur unité organique.

En analysant la notion d’aotivité et de création philosophique il a montré que l’expression conceptuelle propre au philosophe de profession n’est jamais que méditation vers la réalké concrète. Elle est un moyen en vue de l’élaborer. Mais elle est une médiiation nécessaire, parce que sans elle, cette réalité et la pratique mème quelle engendre resteraient tributaires des représentations immédiates, confuses, fluides et aisément mythiques propres aux formes spontanées de la conscience sociale.Jean Desanti

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Mais Gramsci me se borne pas à affirmer l’exigence dun[...]

[...]ne pas à affirmer l’exigence dune telle unité. Son souci a été de montrer comment cette unité sopóre dune manière diffèrendée à chaque moment de l’histoire, comment en elle se constiate l’unké de la théoriie et de la pratique, et comment elle exprime par là le mouvement de rhistoire.

Or, si l’on se place, camme Gramsci, au point de vue du développement 'social, il est clair qu’une telle unité ne sapere pas de la mème manière ni au mème niveau dans toutes les formations sooiales, ni dans une «formation sociale donnée, à tous les moments de son devenir.

Il peut amver que cette unité se brise ou qu’elle ne puisse pas se oonstituer. Dans ce cas l'a philosophie se déploie coimme activité abstraite, aliónée, ignorante dellemème, de son mode dapprentissage, de son mode de développement; elle se déploie comme pure spéculation. Mème alors elle continue d’exprimer le mouvement de la pratique; mais le contenu coneret de ce mouvement lui demeure mystérieux, il reste masqué au penseur par le déroulement conoepituel luimème.

Or, Gr'amsci introduit ici une distincti'on importante. Il peut arriver que ce rapp’ort à la pratique, qui est toujours présent, toujours réel, soit totalement oublié et qu’il soit perdu dans le développement du[...]

[...] mode de développement; elle se déploie comme pure spéculation. Mème alors elle continue d’exprimer le mouvement de la pratique; mais le contenu coneret de ce mouvement lui demeure mystérieux, il reste masqué au penseur par le déroulement conoepituel luimème.

Or, Gr'amsci introduit ici une distincti'on importante. Il peut arriver que ce rapp’ort à la pratique, qui est toujours présent, toujours réel, soit totalement oublié et qu’il soit perdu dans le développement du moment conceptuel. Alors les concepts philosopihiques sont vides de contenu concret. Leur université reste purement formelile. Ils n’ont plus taucune fonction dans le développement de la culture et la philosophie se referme sur ellemème comme un système qui se suffit. Elle ne trouve plus à s’investir dans la pratique. Plus personne dans la société ne peut la reprendre pour tenter de comprendre, de repenser, le développement réel de l’histoire. Elle se met à l’écart de l’histoire. Elle devient, à la limite, ce que nous pourrions appeler un « divertissement réfléchi ». Mais il se peut que les concepts, élaborés au niveau de la plus haute abstraction, trouvant dans la pratique sociale le noyau et la source de la vérité, tirent leur cohésion, leur force de conviction, des exigences de développement propres à cette pratique. Il se peut qu’ils reviennent vers cette pratique; qu’ils transforment l’espdLt public et qu’ils engendrent en étant repris, repensés par des hommes vivants un nouveau «sens oommun», un nouveau « bon sens ». Alors, mème si elle a trouvé son expression réfléchie sous la forme la plus abstraite, mème si, dans cette expression, des aspects entiers du réel ont été trahis ou mutilés, la philosophie peut devenir l’affaire de tous, par ce cot[...]

[...]ciale le noyau et la source de la vérité, tirent leur cohésion, leur force de conviction, des exigences de développement propres à cette pratique. Il se peut qu’ils reviennent vers cette pratique; qu’ils transforment l’espdLt public et qu’ils engendrent en étant repris, repensés par des hommes vivants un nouveau «sens oommun», un nouveau « bon sens ». Alors, mème si elle a trouvé son expression réfléchie sous la forme la plus abstraite, mème si, dans cette expression, des aspects entiers du réel ont été trahis ou mutilés, la philosophie peut devenir l’affaire de tous, par ce coté pratique qu’elle développe.558

Gli interventi

Cette capacité die s’investir dans l’histoire, d’y revenir dune manière cydiq.ue aprés en avoir exprimé des exigences, est le oaractère qui distingue aux yeux de Gramsci, une grande philosophie.

De ce point de vaie, n est pas nécessairement un grand philosophe celui qui a exprimé les idées les plus rares, mais celui qui a ouvert à à son temps et aux générations suivantes des peinspectives capables de bouleverser leur oonseience, de transformer leur mode d’accès à la culture, de changer leur rapport universel et historique iau monde.

Il est possibile qu’un tei philosophe ait parie le langage techniquement élaboré par les [...]

[...]istes frangais, et particulièrement Diderot.

Il me semblte que Gramsci a été un penseur de cette espèce, un philosophe universel, mais dun type nouveau. 11 a porté le langage de tous au degré d elaboration sufìisant pour qu en étant repensé, repris, retenu, il puisse tranformer la consicience des hommes et orienter la pratique.

Et cette remarque me conduit à la troisiéme et derniére idée.

Gramsci viviait, et nous vivons aussi après lui, dans un temps où cette unité qu’il cherchait entre la pure universalité du concept et sa racine pratique passe nécessairement par la mèdiation des luttes du prolétariat révolutionnaire. C’est là une donnée objective du développement historique.

Dès ce moment la figure du philosophe qui se veut pratique, change de nature, par rapport à celle qui était donnée dans le passé.

II n’est plus question seulement de porter au grand jour les idées qui eheminent dans les masses.

III n’est plus question seulement d elaboirer une doctrine qui servirà de modèle de pensée, et à laquelle les générations futures devront accommoder leur conduite. Gramsci, au contraire, a reconnu et exprimé avec force que le penseur qui se veut universel doit devenir luimème un moment dans l’organisation et le développement de ce mouvement d’éducation interne et réciproque par lequel la classe révolutionnaire se donne les moyens de conquérir et d’affermir son hégémonie.

Ce qui veut dire que, selon Gramsci, le penseur est universel en tant qu’il devient penseur révolutionnaire, et qu’il est philosophe pratiqueJean Desunti

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en tant quii devient homme de parti, organiquement lié à l’avant garde de la classe ouvriére.

Gette integration de l’activité proprement philosophique au mouvement réel des classes, n’obscurcit nullement la pureté spécifique de Ila pensée par c[...]

[...]ant quii devient homme de parti, organiquement lié à l’avant garde de la classe ouvriére.

Gette integration de l’activité proprement philosophique au mouvement réel des classes, n’obscurcit nullement la pureté spécifique de Ila pensée par concepts.

Bien au contraire, lexemple de Gramsci montre avec évidence quelle riguer est alors exigée du philosophe, que'l soin minutiieiux il doit prendre pour dissiper les confusions, suivre les concepts dans leur genèse et leurs connexions, éviter à chaque pas la solidification, la fétichisation toujonrs rienaissante, serrer de près le mouvement des choses mèmes dans leurs complications et leurs ehangements.

Cestàdire que dans ce travail) jamais achevé le moment réflexif où le philosophe prend possiession de ses moyiens de connaissance, où il se rend maitre de sa méthode, doit étire déployé par lui dune manière explicite, ouverte, combattive.

Le philosopibe priatique ne sacriifìe rien de ce qui fiait le prix de la pensée théorique. Il nest pas un avare de la pensée, il neconomise rien, aucune démarehe si difficile ou si inhabituelle soitelle, pourvu que sa mise en oeuvre permette de voir mieux la nature des choses et de mieux dominer le devenir social.

Il me semble que c’est là, entre autres choses, le sens d[...]



da (Mito e civiltà moderna) Annabella Rossi, Appunti su arte contemporana e arte preistorica in KBD-Periodici: Nuovi Argomenti 1959 - 3 - 1 - numero 37

Brano: [...]dividual parts are exaggerated enormously......Yet the essential of the figure are much nearer to the conception of the prehistoric statuette of Lespugue. The outlines are reduced to almost geometric curves; the form are simplified to such a degree that the piece fits perfectly into an ellispoid ».
René Huyghe, Dialogue avec le visible, Parigi 1955, così commenta la Venere di Lespugue, confrontata con la Mademoiselle N. C. (1928) di Brancusi: « Dans la Venus de Laspugue se lit clairement la volonté de l'artiste de tout ramener à l'arc de circle, qui se rencontre dans la tête, les épaules, la poitrine, le bassin, les cuisses. L'ensemble parait constituér de variations sur la courbe... Zadkine ou Brancusi se sont ils engagés plus avant dans la direction deja precisée par l'imagier aurignacien? r.
E così commenta le Due donne allo specchio (1930) di Picasso: « La femme gravée sur l'os de Predmost, elle, sacrifie allegrement les derniers menagements du réel... Par un jeu savant courbes et droites alter nent; non seulement il y a repetitions par parallelisme, non seulement il y a symetrie. Le resultat obtenu estil si eloigné du cubisme et de certains Picassos? ». S. Giedion, Trasparency: Primitive and Modern, in Art New (summer 1952), pone a confronto un dettaglio di un affresco della cappella dei mammouth, raffigurante un toro e [...]

[...] di J. E. Cirlot, Mira, Barcelona 1949: « Mire, puede asimismo ser relacionado con el abstractismo astronomico de Caldér; en el existe siempre una tension astral cuya vacacion errante ama los signos que consultaban los caldeos ». Oppure infine di A. Verdet, Mira, Nice 1957: « Les dessins rupestres étaient un moyen de communications sociologiques. Ils étaient les précurseurs de l'écriture. Concordance et rupture: Miró lui, fait rentrer l'écriture dans l'image ».
Nel caso di Mirò si hanno le prove della reticenza che dimostrano la maggiore parte degli artisti contemporanei nel parlare delle fonti dalle quali traggono la loro iconografia e talvolta l'intera loro pittura. Un anno fa circa a Roma, alla Galleria di Arte Moderna, é stato presentato un documentario di Bouchard, Around and about Mirò. Il documentarista che durante alcuni mesi aveva seguito la vita dell'artista per la preparazione e la realizzazione del documentario parla delle fonti che hanno ispirato Miró: disegni di bambini sul marciapiede della strada, uccelli che volano, fuoc[...]



da (Nove domande sullo stalinismo) Palmiro Togliatti in KBD-Periodici: Nuovi Argomenti 1956 - 5 - 1 - numero 20

Brano: [...]he la costatazione é verissima. Oggi, per esempio, i dirigenti sovietici denunciano precisi errori e un momento di scoraggiamento di Stalin all'inizio della guerra. Ma in quei giorni chi, nell'U. S., avrebbe compreso e accettato, non dico un allontanamento di Stalin, ma anche solo una limitazione del suo potere ? Sarebbe stato un crollo, se si fosse vista o intuita una cosa simile. E lo stesso in altri momenti. La costatazione fatta da
(1) « ...Dans les années 19341941, lorsque les impérialistes préparaient de plus en plus intensément leur agression contre l'U.R.S.S., une intervention contre Staline pouvait provoquer des troubles que les ennemis du communisme n'auraient pas manqué d'exploiter. Une telle intervention n'auraitelle pas ouvert la voie á l'agression? Fallaitil courir un tel risque? Aucun communiste honnête n'oserait l'affirmer. Pratiquement, il n'était guère possible de faire autre chose que ce qui fut fait. Il fallait serrer les dents ' et travailler á l'édification du socialisme, au renforcement de l'U.R.S.S., au renforceme[...]

[...]troubles que les ennemis du communisme n'auraient pas manqué d'exploiter. Une telle intervention n'auraitelle pas ouvert la voie á l'agression? Fallaitil courir un tel risque? Aucun communiste honnête n'oserait l'affirmer. Pratiquement, il n'était guère possible de faire autre chose que ce qui fut fait. Il fallait serrer les dents ' et travailler á l'édification du socialisme, au renforcement de l'U.R.S.S., au renforcement des partis communistes dans le monde entier, et cela malgré les tragédies engendrées par le culte de la personnalité de Staline u. L'Humanité, 26 aprile 1956.
124 9 DOMANDE SULLO STALINISMO
Khrustciòv dunque, spiega si, lo stato di necessità in cui si trovarono coloro che avrebbero voluto correggere la situazione che si era creata, ma è, nello stesso tempo, un costatazione che complica il quadro, e in sostanza lo aggrava. Si è costretti ad ammettere che gli errori che Stalin commetteva, o erano ignorati dalla grande massa dei quadri dirigenti del paese e quindi dal popolo, e questo non pare verosimile, oppure non eran[...]



da Bertrand Hemmerdinger, recensione su Luciano Guerci, Libertà degli antichi e libertà dei moderni, Sparta, Atene e i «philosophes» nella Francia del settecento, Napoli, Guida, 1979, pp. 284 in KBD-Periodici: Belfagor 1980 - luglio - 31 - numero 4

Brano: [...]itre: Sparta, Atene e i « philosophes » nella Francia del Settecento. Ce siècle qui
RECENSIONI 487
s'achève en 1789, que pensetil de Sparte et d'Athènes? Voilà le point capital sur lequel tourne le livre de Guerci. Il écrit (p. 8): « Ho volutamente riservato uno spazio esiguo ai primi attori: Montesquieu et Rousseau ». Cette décision de sacrifier les protagonistes au commun des auteurs est conforme à l'esprit niveleur de notre époque. En 1837, dans son Don Quixote, Heine note déjà: « Nous l'avons bien vu après la révolution de Juillet, lorsque l'esprit du républicanisme se manifesta dans tous les rapports sociaux. Le laurier d'un grand poëte était tout aussi haïssable à nos républicains que la pourpre d'un grand roi. Ils voulaient supprimer aussi les différences intellectuelles entre les hommes... ».
D'ailleurs, s'agissant de Sparte et d'Athènes, ce n'est ni Montesquieu ni Rousseau, c'est Pierre Bayle (16471706) qui domine ce siècle dont il n'a vu que les six premières années. Son immortel Dictionnaire historique et critique est l'arsenal et l'école de Fréret, de Voltaire, de l'Encyclopédie, la source unique des Opinions des anciens philosophes de Diderot. En 1715, à Paris, [...]

[...]s anciens philosophes de Diderot. En 1715, à Paris, les lecteurs de la Bibliothèque Mazarine font queue pour le lire. En 1720, les financiers agiotent sur sa nouvelle édition. Toutefois, Guerci ne lui consacre que 4 pages (2428). Il relève que Bayle est partisan du pouvoir absolu. Je n'en suis pas surpris, car, en 1649, un autre érudit huguenot, Saumaise (15881653), écrit une Defensio regia pro Carolo I, une apologie de Charles Ier d'Angleterre. Dans un tout autre ordre d'idées, Guerci cite une amusante phrase de Bayle, qui est à la fois protestant et rabelaisien. Il commence ainsi la note B de l'article Lycurgue: « Que les filles de Lacédémone aient été en si mauvaise réputation. On les apelloit montreuses de cuisses, et enragées de jouir du mâle ».
Guerci parle de trois autres hellénistes.
I. Jean François de Vauvilliers, né vers 1736 à Nevers, mort en 1800 à SaintPétersbourg (p. 121). Le grand Brunck lui témoigne le plus profond mépris dans son édition d'Aristophane (II, Strasbourg, 1783, Notae, p. 22930). C'est Vauvilliers qui est s[...]

[...]nte phrase de Bayle, qui est à la fois protestant et rabelaisien. Il commence ainsi la note B de l'article Lycurgue: « Que les filles de Lacédémone aient été en si mauvaise réputation. On les apelloit montreuses de cuisses, et enragées de jouir du mâle ».
Guerci parle de trois autres hellénistes.
I. Jean François de Vauvilliers, né vers 1736 à Nevers, mort en 1800 à SaintPétersbourg (p. 121). Le grand Brunck lui témoigne le plus profond mépris dans son édition d'Aristophane (II, Strasbourg, 1783, Notae, p. 22930). C'est Vauvilliers qui est son clarissimus professor regius (professeur au Collège de France). Et c'est à lui que Brunck jette: « Sic enim soles, et ut quaeque sunt absurdiora, ita tibi placent magis, maxime si ex iis occasionem arripere possis doctis aliquibus vins obloquendi, quibus ne dignus quidem es tu, qui matulam porrigas ».
II. Nicolas Fréret (16881749). Génie incomparable et historien de la Grèce. Renée Simon, Nicolas Fréret, académicien, « Studies on Voltaire », tome xvll, Genève, 1961. Guerci consacre à Fréret 7 lig[...]

[...] tome xvll, Genève, 1961. Guerci consacre à Fréret 7 lignes d'une note de la page 135. C'est peu.
III. L'abbé Barthélemy (17161795) (p. 272276). Grand savant, dont August Boeckh fait grand cas (Philologues de jadis, « Belfagor » xxxII, 1977, 5145).
On se gardera de confondre l'helléniste Jan Cornelis de Pauw, mort en 1749, et le philosophe Cornelis de Pauw (17391799) (p. 26372). L'helléniste est celui que d'Orville appelle malicieusement Pavo, dans sa Critica vannus in inanes J.C. Pavonis paleas (1737). Guerci n'en parle pas. Quant au philosophe, il est en grâce auprès de Frédéric le Grand, et il a pour neveu le révolutionnaire Anarcharsis Cloots, l'orateur du genre humain, guillotiné par Robespierre le 24 mars 1794.
Le jésuite belge FrançoisXavier de Feller (17351802) publia en 1781 à Augsbourg un Dictionnaire historique en 6 volumes. J'en ai devant les yeux la 9e édition, publiée en 1837 à Paris, en 4 volumes. Il va sans dire que de Feller se propose de soutenir la cause de la religion et de combattre les nouveautés dangereuses. Non [...]

[...], guillotiné par Robespierre le 24 mars 1794.
Le jésuite belge FrançoisXavier de Feller (17351802) publia en 1781 à Augsbourg un Dictionnaire historique en 6 volumes. J'en ai devant les yeux la 9e édition, publiée en 1837 à Paris, en 4 volumes. Il va sans dire que de Feller se propose de soutenir la cause de la religion et de combattre les nouveautés dangereuses. Non seulement ce dictionnaire partial m'amuse, mais encore il me permet d'ajouter, dans les marges du livre de Guerci, les dates de plusieurs auteurs: p. 19 Melon, 1738; p. 32 Rollin, 16611741; p. 81 Helvétius, 17151771; p. 88 Lafitau, 1740; p. 101 Jaucourt, 17041779; p. 103 Boulanger, 17221759; p. 105 Mably, 17091785; p. 111
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488 RECENSIONI
Quesnay, 16941774; p. 113 Baudeau, 17301792; p. 113 Savérien, 17201785; p. 125 Dupont de Nemours, 17391817; p. 142 Linguet, 17361794; p. 168 Gourcy, 1805; p. 194 d'Holbach, 17231789; p. 203 ButelDumont, 17251788; p. 241 Restif de la Bretonne, 17341808.
Linguet fut guillotiné le 27 juin 1794. On lit chez Guerci que ce fut pour a[...]

[...] 488 RECENSIONI
Quesnay, 16941774; p. 113 Baudeau, 17301792; p. 113 Savérien, 17201785; p. 125 Dupont de Nemours, 17391817; p. 142 Linguet, 17361794; p. 168 Gourcy, 1805; p. 194 d'Holbach, 17231789; p. 203 ButelDumont, 17251788; p. 241 Restif de la Bretonne, 17341808.
Linguet fut guillotiné le 27 juin 1794. On lit chez Guerci que ce fut pour avoir « encensé les despotes ». Mais la citation est plus complète chez de Feller: « pour avoir encensé dans ses écrits les despotes de Vienne et de Londres ». Quant à ButelDumont, de Feller nous apprend qu'il a écrit des Recherches sur l'administration des terres chez les Romains (Paris 1779). Enfin, touchant d'Holbach et Helvétius, on se reportera aux deux études faites en 1896 par le marxiste G. Plekhanov (Oeuvres philosophiques, n, Moscou, s.d., pp. 1257 et 58111).
Pour conclure, les nombreuses remarques que l'on vient de lire témoignent surtout de l'ampleur du sujet traité par Guerci, et du profit que le lecteur tire de cet ouvrage riche et important.
BERTRAND HEMMERDINGER
ITALO CALVINO, Se [...]


Grazie ad un complesso algoritmo ideato in anni di riflessione epistemologica, scientifica e tecnica, dal termine Dans, nel sottoinsieme prescelto del corpus autorizzato è possible visualizzare il seguente gramma di relazioni strutturali (ma in ciroscrivibili corpora storicamente determinati: non ce ne voglia l'autore dell'edizione critica del CLG di Saussure se azzardiamo per lo strumento un orizzonte ad uso semantico verso uno storicismo μετ´ἐπιστήμης...). I termini sono ordinati secondo somma della distanza con il termine prescelto e secondo peculiarità del termine, diagnosticando una basilare mappa delle associazioni di idee (associazione di ciò che l'algoritmo isola come segmenti - fissi se frequenti - di sintagmi stimabili come nomi) di una data cultura (in questa sede intesa riduttivamente come corpus di testi storicamente determinabili); nei prossimi mesi saranno sviluppati strumenti di comparazione booleana di insiemi di corpora circoscrivibili; applicazioni sul complessivo linguaggio storico naturale saranno altresì possibili.
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